Habiller le corps est-ce le contraindre ou bien le libérer ? Draper le corps, est-ce uniquement le cacher du regard des autres en se le dissimulant également à soi-même, ou bien serait-ce aussi l’émanciper, voire dégager la réalisation d’une liberté et d’une égalité dans la société ? En réalité, quelle « langue » parlent les vêtements ? Et à quelles fins veut-on faire de son corps une « écriture » ? Si la peau est « ce qu’il y a de plus profond en l’homme », pourquoi, et pour qui, y surajoute-t-on signes et graphes ?